Une carte de visite ? Franchement, je serais passé à côté de ce premier disque si Georgiana Pletea ne l’avait ouvert par Miroirs.
Noctuelles irréelles babillant dans des touches de cristal Continuer la lecture de Premiers sillons
Une carte de visite ? Franchement, je serais passé à côté de ce premier disque si Georgiana Pletea ne l’avait ouvert par Miroirs.
Noctuelles irréelles babillant dans des touches de cristal Continuer la lecture de Premiers sillons
Ceux qui découvriront l’art de Nicholas Angelich ici, en commençant par les vastes horizons de steppes de son Troisième Concerto de Rachmaninov Continuer la lecture de Grand Piano
Philippe Bianconi revient à son cher Ravel dont il avait déjà gravé l’intégrale de l’œuvre pour piano seul sous l’écoute bienveillante de Suzanne et René Gambini voici bien trente ans. Un vaste soleil illuminait alors son jeu, Ravel en lumière, joué assez dandy Continuer la lecture de Nocturne
Enfant, j’écoutais en boucle le coucher de soleil sur les pins du Janicule, avant-dernier volet des Pins de Rome, microsillon Fontana peut-être artificiellement stéréophonisé comme on l’osait alors Continuer la lecture de Le sorcier de Minneapolis
Ne vous arrêtez pas à l’exorde des Valses nobles et sentimentales, qui assène et dit tout net que pour Ravel, en tous cas pour mon Ravel comme je l’ai appris aux disques de Monteux, de Cluytens, de Paray, les Basques n’ont pas Continuer la lecture de Ravel 2