Dans son élégant texte de présentation, Paolo Zanzu s’amuse à débrouiller les fausses pistes qui auront fait nommer « anglaises » les musiques les plus françaises que Bach ait écrites, et fort de ses éclaircissements, les poursuit au clavecin.
Elle le jouait toujours pour elle-même d’abord, y revenant sans cesse, l’essayant plusieurs fois au disque, mais ne s’y trouvant libre absolument qu’en concert. À Helsinki, ce soir d’avril 1993Continuer la lecture de Prières→
L’Allegro du Concerto en ut mineur aura-t-il jamais dansé à ce point, vrai gigue que les deux claviers gymnastes d’Olivier Fortin et d’Emmanuel Frankenberg envolent sur les cinq archets rugissants menés grand train par Sophie Gent ? Continuer la lecture de Bach danse→
Les puristes enrageront, et ceux qui ne le sont guère aussi. Dans un dolce avec ritardendi, Ewa Pobłocka endort le Prélude qui ouvre ce Premier Livre puis fait cavaler la Fugue avant de la finir alargando. Le son du Kawai n’est pas agréable, son jeu non plus Continuer la lecture de Romantique ?→
Des Suites à danser ? Les dernières décennies auront accueilli des interprétations toujours plus prestissimes des quatre Ouvertures depuis que William Malloch et ses Bostoniens les auront fait giguer dans des tempos fous Continuer la lecture de Le sentiment de la danse→