Steven Osborne ne sera pas le premier à réunir sur une seule galette – privilège accordée par la durée augmentée du compact disc – les trois Sonates que Prokofiev écrivit entre 1939 et 1944. Kun Woo Paik, le premier, les aura réunies.
Le piano chez Pfitzner aura connu ses pages les plus glorieuses dans l’accompagnement de ses innombrables lieder où il atteint au même degré d’inventivité et de singularité que celui déployé Continuer la lecture de Après Brahms→
Longtemps, les Toccatas furent les mal aimées du clavecin de Bach, pire !, la méprise s’accentua lorsque Glenn Gould les cloua dans son piano en détournant les clavecinistes pour un certain temps Continuer la lecture de Ostinato→
Voici peu, j’encensais le Kullervo épique que Thomas Dausgaard faisait paraître chez Hyperion, voici celui, placé à ses antipodes, d’Hannu Lintu, enregistré avec les forces de Radio Finlandaise et les membres masculins du Chœur National d’Estonie, habitués de l’œuvre. Continuer la lecture de Tragédie→
On ne sait plus rein de Jean-Louis Nicodé, patronyme à consonance française d’un compositeur absolument allemand, sinon qu’il dérangea plus qu’il n’arrangea l’Allegro de concert de Chopin. Ses œuvres pianistiques valent mieux que cette tambouille Continuer la lecture de Revenu des limbes→