Comme Isabelle Faust, Alina Ibragimova n’hésite pas à troquer les cordes de fer pour celles en boyaux lorsqu’il lui faut se mesurer à Bach.
Dans l’équilibre léger et fluide Continuer la lecture de Bach Ibragimova opus 2
Comme Isabelle Faust, Alina Ibragimova n’hésite pas à troquer les cordes de fer pour celles en boyaux lorsqu’il lui faut se mesurer à Bach.
Dans l’équilibre léger et fluide Continuer la lecture de Bach Ibragimova opus 2
Les deux opus de Janáček sont devenus au fil de l’enregistrement digital un point de passage obligé pour tous les quatuors : la complexité du discours, la profusion des arrière-plans, l’étrangeté même de l’écriture, tout les inscrit au sommet des quatuors du XXe siècle et leur rayonnement s’est étendu bien au-delà de la tradition des formations tchèques. Continuer la lecture de Au secret
En 2010, Steven Osborne avait rejoint Paul Lewis pour un album Schubert à quatre mains dont la Fantaisie tourna longtemps dans ma platine. Le voici qui ose seul tout un disque Schubert. Contrairement aux pianistes de sa génération, ce n’est pas sur Continuer la lecture de Schubert secret
Alina Ibragimova ne fait rien comme personne, elle appartient à cette nouvelle génération de violonistes qui se servent de leur instrument à des fins expressives, sans plus se soucier du beau son – Patricia Kopatckhinskaja pourrait être artistiquement sa sœur jumelle. Continuer la lecture de Archet-monde
Étrange : après des Sonates Wurtembourgeoises de Carl Philipp Emanuel Bach très dites, après des Rameau transcendants qui à chaque réécoute découvrent de nouveaux bonheurs, voici que Mahan Esfahani se met la tête à l’envers et espère bien nous la mettre aussi. Continuer la lecture de À l’envers