Orfeo aurait ajouté quelques lieder, le portrait fut complet.
Capté en scène, mais plus souvent dans les studios de la Radio Bavaroise, George London n’est de toute façon que théâtre Continuer la lecture de Homme, Diable et Dieu
Orfeo aurait ajouté quelques lieder, le portrait fut complet.
Capté en scène, mais plus souvent dans les studios de la Radio Bavaroise, George London n’est de toute façon que théâtre Continuer la lecture de Homme, Diable et Dieu
Le plein son de l’océan de cordes étend de vastes aplats de couleurs chaudes, qui font vibrer la lumière des notes, avant que le violon d’Erich Gruenberg n’entonne son aria aux trilles italiennes. Les pizzicatos le portent Continuer la lecture de Le créateur
Reprenant Don Carlo, un de ses Verdi favoris avec Falstaff, Il trovatore et Otello, Karajan savait qu’il avait enfin trouvé son jeune prince. Continuer la lecture de Le Prince perdu
Une grande mezzo, avec un grave élégant et une colorature aisée, Agnes Baltsa aurait pu être la nouvelle rossinienne idéale de sa génération, plus stylée qu’une Marylin Horne, avec dans le grain même de la voix le glorieux souvenir Continuer la lecture de Une belcantiste
La Covid n’a pas épargné Anna Netrebko, sa voix en a été changée, plus assombrie, au vibrato plus ample. Pour le Lamento d’Ariadne, malgré quelques fatigues ça et là, c’est merveille, question de timbre et simplement d’élan. Elle y sera plus proche de Reining Continuer la lecture de Incertitudes