Les Mirages ? L’Horizon chimérique ? Non, voulant herboriser Fauré par ses poètes, Marc Mauillon choisit les mélodies les plus aisées à entendre, mais à chanter ?
Un piano d’arpèges exhausse une mélodie qui une fois entendue ne pourra plus s’oublier dans sa montée, ses replis, son poème de parfum. Fauré ? Non, Albert Dupuis qui ouvre sa Sonate de 1922 par un Moderé pastorale dont l’approfondissement fera paraître Continuer la lecture de Albert Dupuis→
La discographie de Paul Tortelier aura conservé son art tel quel, rugueux, appassionato, avec dans l’empoignement, l’archet qui mord la corde, une constante référence aux phrasés Continuer la lecture de Voix humaine→
Le monde de Proust ? Oui évidemment, mais ce que révèle aujourd’hui le Palazzetto Bru Zane en publiant la première intégrale des Mélodies de Reynaldo Hahn est encore plus important. Il y eut entre Fauré et DebussyContinuer la lecture de Trésors cachés→
Fauré, Brahms, Schumann : Stéphane Degout choisit chez le premier des pages simples, Aurore, Automne, diptyque d’Armand Sylvestre qui encadre les trois volets appassionato du Poème d’un jour. Le français impérieux, le timbre noir et glorieux Continuer la lecture de France-Allemagne→