Allan Pettersson immergea son orchestre dans des nuits sans lune dont ses symphonies belles comme des océans auront capté l’essence.
Mais il y a un autre Pettersson, celui des « chants pieds nus » Continuer la lecture de Vox Humana
Allan Pettersson immergea son orchestre dans des nuits sans lune dont ses symphonies belles comme des océans auront capté l’essence.
Mais il y a un autre Pettersson, celui des « chants pieds nus » Continuer la lecture de Vox Humana
Le sujet aurait plu à Schreker : une princesse tombe amoureuse d’un mystérieux chanteur qui ne sera autre que son batelier, union impossible. Il faut renoncer à l’amour Continuer la lecture de La princesse et le batelier
Le célesta papillonne, les bois font un étrange écran de sons, une pluie de notes emplit l’orchestre, qui est l’auteur de ce sortilège ? Hugo Alfvén, qui maîtrisait si bien le grand orchestre symphonique Continuer la lecture de Le Roi de la Montagne
Les cordes dans leurs graves font une nuit que percent les violons, un célesta bat comme un cœur, le paysage s’agrandit. Non, ce n’est pas l’ouverture des Stigmatisés de Schreker, mais les quatre premières pages du chef-d’œuvre de Joseph Marx, Eine Herbstsymphonie, qui aura donc dû attendre un siècle avant d’être enregistré. Continuer la lecture de Rêve éveillé
Michael Korstick a bien raison de persévérer chez Dmitri Kabalevski (1904-1987) : son intégrale des Concertos pour piano du compositeur de Colas Breugnon avait justement fait sensation, remettant au-devant de l’actualité discographique Continuer la lecture de Trop oublié