Irma Kolassi y mettait un grand point de fierté : instruite comme elle l’était dans la composition, la fugue, l’harmonie, elle rappelait s’être appliquée tout au long de sa carrière de cantatrice à la défense et l’illustration de la musique du XXe siècle.
Je désespérais de retrouver le piano lyrique d’Herbert Schuch : après avoir quitté Oehms pour Naive Classique, qui ne lui aura consacré qu’un disque, il n’avait plus d’éditeur. Mais le revoilà, en duo – quatre mains ou deux pianos – avec Gülru EnsariContinuer la lecture de Obsession Debussy→
Jorge Bolet au sommet de son art, capté idéalement sur de très beaux pianos par des ingénieurs du son saisissant toutes ses couleurs et son grand jeu polyphonique. Quel plaisir tout au long de ce troisième volume qui clôt la publication de ses enregistrements Continuer la lecture de Les inédits d’un génie→
Javier Perianes avait déjà effleuré les sortilèges debussystes dans un album subtilement composé où le compositeur de La Boîte à joujoux était mis en regard avec Frédéric Chopin.
Le couplage est imparable, abondamment illustré au disque – et les jeunes quatuors depuis l’album révolutionnaire des Belcea y ajoutant celui de Dutilleux – mais les JérusalemContinuer la lecture de Jeunesses→