Mars 2015, Munich, Herkulessal, Mariss Jansons s’engage dans la vaste prière que Dvořák composa à la mémoire de sa fille Josefa, morte le 21 septembre 1875 peu après sa naissance.
Longtemps, je n’ai vécu qu’avec une version de la Sérénade pour cordes de Tchaikovski, celle justement qui referme le deuxième CD de ce coffret inespéré : en octobre 1964, pour la stéréophonie, Josef Vlach revenait à cette partition Continuer la lecture de L’âme aux cordes→
En 1971, Vaclav Neumann enregistrait pour Telefunken sa première intégrale des Danses slaves avec la Philharmonie Tchèque. Six ans plus tôt, il avait herborisé avec le Gewandhaus de Leipzig six Danses dans les opus 46 et 72 : orchestre vif Continuer la lecture de Danses symphoniques→
Ce disque est un manifeste. En l’ouvrant avec l’extraordinaire Fantaisie que Josef Suk composa en 1902 pour František Ondříček, Christian Tetzlaff et John Storgårds indiquent que le chef-d’œuvre Continuer la lecture de Fantaisie noire→
Mariage attendu : le plus stylé des pianistes anglais et le plus lyrique des chefs de sa génération. Pour leur premier disque Stephen Hough et Andris Nelsons ont choisi deux concertos majeurs du répertoire romantique. Celui de Dvořák est resté longtemps l’apanage Continuer la lecture de Concertos-poèmes→