Troisième disque du Borusan et de Sascha Goetzel pour Onyx, et troisième programme vainqueur.
La formation stambouliote revient après un album illustrant l’orchestre industriel (sans pour autant y avoir convoqué les Fonderies d’acier de Mossolov) à sa thématique orientale. Continuer la lecture de La raconteuse→
Je l’avoue, depuis la fulgurante intégrale de Cyprien Katsaris pour Teldec enregistrée au long des années quatre-vingt, les Symphonies de Beethoven dans leurs recréations pianistiques par Liszt, avaient quitté ma platine jusqu’à ce que Yury Martynov les revisite sur des pianos historiques. Continuer la lecture de Tout un orchestre→
En 1970, Anne Queffélec faisait paraître chez Erato un album Scarlatti qui fit sa gloire : son clavier lumineux, son toucher crépitant, l’esprit de la danse qu’elle y mettait répondaient aux timbres pulpeux et aux ombres qu’y laissaient entrevoir Marcelle Meyer. Du même pays mais pas du même bord. Continuer la lecture de Hors du temps→
N’allez pas chercher dans les deux Symphonies d’un Gounod tout juste débutant à l’opéra avec deux ouvrages mal reçus (Sapho et La Nonne sanglante) et finalement échappé à une carrière de musicien d’église les éclairs de génie de Roméo et Juliette ou de Faust : Continuer la lecture de Gounod Beethoven→
Le 21 janvier dernier (2015), Waldemar Kmentt s’éteignait dans sa quatre-vingt-troisième année. Un Mozartien dans sa jeunesse, ses Belmonte, Tamino, Don Ottavio, Ferrando, Idamante et Idoménée en allemand ou en italien selon les usages de l’époque, sont restés célèbres. Continuer la lecture de La nuit chante→