Svecia ultima

Je ne connaissais pas grand-chose de la musique d’Edvin Kallstenius, mais un disque Music Sveciae dirigé par le formidable Stig Westerberg avait attiré mon attention : aux cotés de la Symphonie funèbre de Kurt Atterberg, de l’envoûtant et sombre Des grandes forêts d’Oskar Lindberg une œuvre aux timbres aventureux Continuer la lecture de Svecia ultima

Deux pionniers de Bruckner

Charles Adler est passé à la postérité avec sa gravure viennoise de la 3e Symphonie de Gustav Mahler, toujours regardée comme une référence malgré un orchestre parfois en délicatesse avec la justesse, où officiait une Hilde Rössel-Majdan mystérieuse. La direction expressionniste et nerveuse d’Adler Continuer la lecture de Deux pionniers de Bruckner

A entendre

D’emblée : le chef-d’œuvre de Rameau, outrageusement relu par Jonathan Kent, spectacle flashy et qui s’imagine provocateur, ne se regarde simplement pas, d’autant qu’Ivan A. Alexandre avait préalablement remis Hippolyte et Aricie dans les lumières, les costumes, les décors et la machinerie Continuer la lecture de A entendre

La Favorite enfin !

J’espérais depuis longtemps la renaissance de ce chef-d’œuvre oublié de Donizetti que vit paraitre la scène de l’Opéra de Paris le 2 décembre 1840. Quelques extraits en français dirigés par Ruhlmann en 1912, une intégrale Continuer la lecture de La Favorite enfin !