Salle Gaveau, 7 février 1967, Alicia de Larrocha donne tout Iberia, ce qu’alors quasi personne ne faisait, et que depuis peu firent (le plus inspiré, et pas si loin d’elle, sera Luiz Fernando Pérez). Continuer la lecture de Chez elle
Ode aux années Folles
Dans le tourbillon de charlestons et jazz songs, soudain l’horloge de L’Enfant et les sortilèges compte le temps. Henri Gil-Marchex s’était transcrit à son usage personnel le savoureux dialogue entre la théière et la tasse chinoise Continuer la lecture de Ode aux années Folles
Amériques imaginées
Le programme parle de lui-même, il suffirait quasi à commander l’achat de l’album, pourtant l’audition glisse quelques bémols. La section centrale de l’Ouverture Cubaine montre cette attention singulière à l’harmonie, ce sens des atmosphères Continuer la lecture de Amériques imaginées
Jeunesse
Seize ans. Dès l’intrada de l’Andante spianato, la beauté du toucher, l’élégance sans coquetterie, l’équilibre dorée de la reprise, tout semble d’un maître. Sans clairon – signe d’un poète du clavier – mais pas sans orchestre Continuer la lecture de Jeunesse
Affinités électives
Au rayon Rachmaninoff, Ekaterina Litvintseva persiste et signe. J’ai chroniqué un premier album où elle magnifiait les rarement courus Morceaux de salon, et ne s’égarait pas, comme tant d’autres Continuer la lecture de Affinités électives