Voici près d’un quart de siècle, je découvrais grâce à un disque du label suisse Claves ce Mysterium fuligineux, véritable musique pour une cathédrale byzantine, composé en 1962 par Nino Rota qui retrouvait entre deux musiques de films Continuer la lecture de L’autre Rota
Le cas Leibowitz
Une imbécilité – son mépris affiché crânement pour la musique de Sibelius – aura achevé de ternir la postérité de René Leibowitz, voué d’abord aux gémonies pour être demeuré contre vents et marrées un thuriféraire du dodécaphonisme Continuer la lecture de Le cas Leibowitz
Les grandes mains
Yara Bernette est absolument oubliée aujourd’hui, alors même qu’elle fit les beaux jours de la vie musicale de São Paulo, connut une carrière internationale florissante dés les années cinquante – Paris la découvrait en 1955 dirigée par Heitor Villa-Lobos lui-même Continuer la lecture de Les grandes mains
Les Trois Eléments
Lorsqu’on pressait Destouches de révéler qui, de Delalande ou de lui, avait composé quelle part des Éléments, l’Opéra-ballet qui enchanta le jeune Louis XV et où il dansa paraissant Continuer la lecture de Les Trois Eléments
L’orchestre du piano
Le grand Fazioli que fait sonner à la volée Maurizio Baglini m’avait déjà surpris dans son intégrale Moussorgski sur laquelle d’ailleurs je reviendrai. Pour cet album Schumann, il trouve illico dans la fièvre du discours la puissance d’accent et le kaléidoscope Continuer la lecture de L’orchestre du piano