Disparu prématurément à quarante-trois ans, Jani Christou fut certainement le génie parmi les compositeurs de la nouvelle musique savante grecque de l’après-guerre Continuer la lecture de Les modernes
Chant du cygne
Quel joli disque ! Tobias Koch touche un beau pianoforte de Friedrich Hippe, subtil, feutré, sur lequel Markus Schäfer distille avec subtilité sa singulière voix de ténor de caractère Continuer la lecture de Chant du cygne
Précis de mélancolie
La belle aventure continue. J’avais été transporté par le Premier Livre si finement ouvragé par L’Achéron, le Deuxième en perpétue les sortilèges, Marais y élargissant et son nombre et son propos Continuer la lecture de Précis de mélancolie
Vers l’éternité
Maurice Duruflé pensa ses deux grandes œuvres chorales, la si singulière Messe « Cum Jubilo » écrite en 1966 pour un chœur de barytons, et le Requiem de 1947, dans l’habillage d’un vaste orchestre, mais il rédigea aussi des versions avec le seul orgue Continuer la lecture de Vers l’éternité
Ombres sereines
Inon Barnatan entre dans le 4e Concerto sotto voce, motif court, toucher affleurant, il joue dans l’ombre l’un des opus les plus secrets, les plus ambitieux aussi jamais coulés de la plume de Beethoven. Vient ensuite l’Andante con moto. Alan Gilbert Continuer la lecture de Ombres sereines