La Sécession viennoise se doutait-elle qu’en musique, après les ors et le sombre des Gurrelieder, son essence se résumerait au jeu radical de quatre instruments à cordes ? Au fond Continuer la lecture de Vienne en cordes
Vienne chante
Neuf opéras pour fêter les 150 ans du Wiener Staatsoper, c’est un peu court n’est-ce-pas, et aurait dû contraindre à une sélection drastique. Orfeo ne s’y est pas résolu Continuer la lecture de Vienne chante
Ultima Verba
Schnabel laissait des notes sous le clavier, mais il osait le « più presto possibile » des premières mesures de la Hammerklavier : il faut se jeter ici, d’ailleurs plus corps qu’âme (pour l’âme ce sera plus tard, l’Adagio se veut sostenuto) Continuer la lecture de Ultima Verba
Après Fauré
Emile Naoumoff ouvre son disque Ravel avec ce qui est le secret de son art : une improvisation, un « à la manière de » où il se souvient de ce moment d’émotion pure qu’est le bref Prélude en la mineur ; Ravel y montre comme un regret Continuer la lecture de Après Fauré
Schubert enfin
Adam Laloum se sera beaucoup cherché d’un éditeur l’autre, un talent pareil devait trouver bon port, sa venue chez harmonia mundi, les micros si attentifs d’Hugues Deschaux dans l’Eglise du Bon Secours et un Steinway Continuer la lecture de Schubert enfin