Le ton heurté du Pleyel de 1917, l’archet douloureux du violoncelle, qui hache ses phrasés, quelle entrée dans la Première Sonate de Fauré nous font Anne Le Bozec et Alain Meunier Continuer la lecture de Violoncelle de France
Manteau de nuit
1973. À l’Opéra de Munich, on avait déjà coutume de donner le répertoire italien dans la langue originale, Sawallisch s’y employait, mais pour ce Tabarro, cédant au souhait de Günther Rennert, il en resta à la version allemande assez habile Continuer la lecture de Manteau de nuit
Son Beethoven
Leonidas Kavakos l’assume : il dirigera son Concerto de Beethoven du violon, et il vaut mieux. Même avec une phalange aussi rôdée à l’œuvre que celle des Bavarois, le risque s’entend. C’est que, phrasés Continuer la lecture de Son Beethoven
Esprit français
Dans son élégant texte de présentation, Paolo Zanzu s’amuse à débrouiller les fausses pistes qui auront fait nommer « anglaises » les musiques les plus françaises que Bach ait écrites, et fort de ses éclaircissements, les poursuit au clavecin.
Les Préludes eux-mêmes sont tendres Continuer la lecture de Esprit français
Préludes fantasques
Scriabine et Rachmaninov auront imaginé leurs Préludes en partant de Chopin, Dmitri Kabalevski parfois de Bach, mais d’assez loin : les Six Préludes et Fugues, Op. 61 s’en servent comme prétexte à des pièces descriptives ou narratives. Continuer la lecture de Préludes fantasques