Un cycle Beethoven parfait, où sa battue claire avait rencontré l’instrument idéal, un seul disque Schubert, un doublé Berlioz, au moment de quitter les Symphoniker, voici que Philippe Jordan ajoute en guise de cadeau d’adieux les Symphonies de Brahms.
Ce sera peut-être votre disque de Noël, ce devrait l’être en tous cas. Les artistes ont rejeté à la fin de l’album ce qui en fait l’objet, A Ceremony of Carols, le faisant précéder de ce qui en fait le sujet : le temps de Noël, mais élargi en quelque sorte à tout ce que y fait entrer l’imaginaire britannique. Continuer la lecture de Temps de l’Avent→
Des pièces de bravoure ? Pas seulement. Ecoutez la Dixième Rhapsodie, avec son cymbalum qui se dissout dans la puszta, le même qui ouvre la Onzième. Derrière, et presque malgré la virtuosité dont Liszt aura habillé ses quinze fantaisies magyares Continuer la lecture de Rhapsodies à deux visages→
Baiba Skride aura jusque-là confronté son Stradivarius boisé aux concertos du XXe siècle, une moderniste croyais-je, et la voilà aujourd’hui chez Mozart ! Continuer la lecture de Concertos-opéras→
Vlado Perlemuter lui aura-t-il soufflé quelques secrets ? La dissolution pleine de fantômes du lent des Valses nobles et sentimentales, le chef-d’œuvre le moins saisissable du piano de Ravel, atteint sous les doigts de Michel Dalberto ce balancement Continuer la lecture de Ravel enfin→