Se saisissant du pianoforte de Mozart, probablement sorti, même non signé, des ateliers d’Anton Gabriel Walter, Robert Levin n’y va pas par quatre chemins : il ose remplir les vides harmoniques en les bariolant, sur-varie les reprises Continuer la lecture de Con fuoco
Symphonie des abîmes
Le temps de Rued Langgaard serait-il venu ? Ses pionniers au disque, Ilya Stupel, Leif Segerstam ou Neeme Järvi auront eu raison d’insister ; depuis leurs albums, Thomas Dausgaard a gravé Continuer la lecture de Symphonie des abîmes
Venise d’Orient
Le son des guitare, théorbe et colascione, les percussions, un violon impertinent emporte la petite troupe de chanteurs qui s’empare de Giesu dileto sposo, mêlant le sacré et le populaire, comme savent si bien le faire Vincent Dumestre et son Poème harmonique. Continuer la lecture de Venise d’Orient
Jeunesse
Un premier récital m’avait tiré l’oreille, puis un disque de concertos russes, malgré quelques bémols, et confirmé que ce jeune homme lauréat du Van Cliburn était musicien autant que virtuose Continuer la lecture de Jeunesse
Sans emphase
Le piano d’abord, un splendide Bösendorfer qui chante tout seul, et dont Julian Trevelyan (qui sait ce que chanter veut dire, c’est un autre de ses talents) joue avec une évidente simplicité Continuer la lecture de Sans emphase