Fort de ses succès au Concours Chopin, Fou Ts’ong lui consacrera toujours une place de choix dans ses récitals, ici une Polonaise admirablement menée, surtout la triade de l’Opus 50, rappelant qu’à Varsovie on l’avait d’abord primé pour ses Mazurkas. Continuer la lecture de Échos magiques
Kádár Kata
Tout n’est pas inédit, les Mahler, trois des Lieder und Gesänge aus der Jugendzeit, trois des Rückert-Lieder, furent fugitivement édités par la BBC, mais le reste l’est, et n’occupe que la première galette Continuer la lecture de Kádár Kata
Puissance
Grand piano, évidemment, mais pas seulement. Mariam Batsashvili formée au Conservatoire de Tbilissi y a pris cette sonorité pleine et claire qu’elle sait modeler pour y faire entrer les caprices de Haydn Continuer la lecture de Puissance
Nouveau piano
Ce nouveau monde qui titre l’album de Jonas Vitaud, les Amériques, aura inspiré à Antonín Dvořák la merveilleuse Suite, Op. 98. Il la joue avec une fantaisie, des emportements, des replis poétiques qui forcent l’admiration. Continuer la lecture de Nouveau piano
Pour l’Amour de Nelson
Courez à la Deuxième Sonate de Chopin, la noblesse des traits, l’éloquence sans grandiloquence, la tenue de la Marche funèbre dont le trio laisse poindre l’émotion, l’irrépressible ligne droite du Finale, croirait-on tant de maîtrise et de poésie chez un jeune homme de vingt-quatre ans ? Continuer la lecture de Pour l’Amour de Nelson