Entre les ultimes folies du Baroque et l’empire de la raison du Classicisme, une tentation exista, qui par l’espressivo entendait briser la forme, ou du moins l’asservir ; le nouvel album de Francesco Corti et de ses amis d’il Pomo d’Oro, illustre cette parenthèse Continuer la lecture de Direction perdue
Triade tragique
Le corpus est le plus mal aimé parmi les sonates pour violon et piano du Romantisme, alors même que le génie de Schumann y est à son comble dès l’Opus 105 dont l’élan sombre n’aura peut-être jamais trouvé une traduction mieux sentie Continuer la lecture de Triade tragique
Son rêvé
Dina Stojilković, pas encore trentenaire lorsqu’elle enregistra cet album, consacra sa thèse aux Goyescas, surtout elle les joue comme personne aujourd’hui ! Admirables, ce feu élégant, ces chants si évocateurs Continuer la lecture de Son rêvé
Le vrai Rossignol
EMI, aujourd’hui Warner, a de la suite dans les idées au travers de décennies. André Cluytens avait pour lui, sous étiquette Pathé, le Rossignol très peu sensuel (et d’une certaine manière d’un exotisme assez peu stravinskien) de Janine Micheau. James Conlon Continuer la lecture de Le vrai Rossignol
Les années heureuses
Un jouvenceau de onze ans qui délaisse Mozart ou Beethoven, leur préfère Olivier Messiaen, et joue ses Regards sous ceux du compositeur. Continuer la lecture de Les années heureuses