La Lucrezia Borgia que Felice Romani tira avec un certain bonheur de la pièce de Victor Hugo pour Gaetano Donizetti en 1832 parut au répertoire de loin en loin, jamais absolument abandonnée.
On est à la Philharmonie de Paris, acoustique claire et un peu prosaïque, discophilique peut-être, en tous cas assortie au propos de Yannick Nézet-Séguin et de l’Orchestre de Chambre d’Europe : rendre les Symphonies de Mendelssohn dans leurs vraies couleurs, celles des aquarelles dont le musicien fut un virtuose. Continuer la lecture de Sur les pointes→
Paul Hindemith avant même de fonder en 1921 avec Rudolf, son frère violoncelliste, ce quatuor mythique qui prendra le nom de son violoniste, Licco Amar, avait déjà écrit quatre grands quatuors, initiant sa série de sept opus l’année de ses vingt ans avec une partition splendide (son Opus 2, longtemps désigné Continuer la lecture de L’alto du quatuor→
Le 9 mai 1957, Glenn Gould qui avait médusé le public moscovite – Maria Judina et Sviatoslav Richter étaient dans la salle – assistait à un concert où Richter donnait la plus hypnotique lecture de la Sonate en si bémol majeur que l’enregistrement ait conservée Continuer la lecture de L’Absolu→
Juliusz Zarębski atteignit une certaine postérité par un chef-d’œuvre absolu, le vaste Quintette pour piano et cordes qu’il acheva en 1885. Il eut tout juste le temps de le créer à Bruxelles avant que la mort ne l’emporte dans sa trente-deuxième année, trois ans de moins de vie terrestre qu’il n’en fut donnée à Mozart Continuer la lecture de L’âme de la Pologne→