Né Polonais, élève de Zygmunt Noskowski, passé sous la férule de Nikisch pour la direction d’orchestre, Ludomir Michał Rogowski n’est plus qu’un nom pour les musicographes et pourtant que ses mélodies sont belles.
Ce n’est certes pas son album Westminster le plus couru, mais dans le récital des pièces brèves où il herborise de Bach à Ravel en passant par Liszt et Weber, Paul Badura-Skoda délivre une surprenante Marche turque sur un piano préparé par ses soins Continuer la lecture de Les Années Westminster de Badura-Skoda→
Second volet d’une intégrale mûrement réfléchie, avec un orchestre choisi dont Ádám Fischer est le patron depuis deux ans. Immédiatement, il aura entrepris un cycle MahlerContinuer la lecture de Simplicité→
C’est entendu, Anastasia, la grande chorégraphie que Kenneth MacMillan créa au Deutsche Oper de Berlin en 1965 – il était en délicatesse avec le Royal Opera Ballet et avait accepté l’invitation de son ami John Cranko – est le chef-d’œuvre de ce chorégraphe majeur, apogée de son style néo-classique Continuer la lecture de L’usurpatrice→
Le Quintette « Américain » (Op. 97, en mi bémol majeur) a bien de la chance au disque, hier les Škampa avec Krzysztof Chorzelski en chantaient les thèmes avec une sorte d’entrain populaire, alors que les Pavel Haas et Pavel NiklContinuer la lecture de Bohème d’Amérique et d’ailleurs→