Iván Fischer prendrait-il le contrepied du vaste geste solaire que son ami Claudio Abbado déployait dans la Septième ?
L’allégement des timbres, les phrasés longs, le souci chambriste qui élance les Nachtmusik rapprochent pourtant Continue reading Crépuscule →
À Munich, Bernard Haitink délivrait voici peu une version limpide de la plus complexe symphonie jamais coulée de la plume de Gustav Mahler, cette Troisième qui était depuis son enregistrement avec le Concertgebouw en quelque sorte sa symphonie fétiche Continue reading Nietzche encore →
Tiens, voici qu’Iván Fischer me prend à rebrousse-poil. Dans la Quatrième Symphonie de Brahms, habituellement les lignes se tendent, l’harmonie éclate, la forme impérieuse dévore tout et pas seulement dans la passacaille du Finale. Mais non Continue reading L’autre pastorale ? →
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