On ne naît pas petit-fils de Tatiana Nikolayeva impunément : le piano d’Arseny Tarasevich-Nikolaev, qui vient de se faire recaler au Concours Tchaïkovski, victime de son choix d’un programme trop russe, est empli des timbres et de la poésie de ceux de sa babouchka Continuer la lecture de Idéal russe
Vu de Debussy ?
Lucas Wong, jeune pianiste canadien, s’est beaucoup voué à l’œuvre de Claude Debussy, mais pour ce qui semble bien être son premier disque, il choisit Couperin et Rameau. Bien vu. Si les Préludes de L’art de toucher le clavecin le montrent un rien prudent Continuer la lecture de Vu de Debussy ?
Passion Brahms
Voici peu, j’applaudissais au premier volume des Trios de Parry par les Leonore : ils révélaient le cœur même de l’œuvre d’un compositeur que l’Angleterre fêta comme le créateur de sa symphonie nationale Continuer la lecture de Passion Brahms
Le Mage de Munich
Finalement, au long de son magister à Munich, le disque engrangea peu de ce qu’y inventa Wolfgang Sawallisch. Côté lyrique EMI documenta tardivement sa Frau ohne Schatten, son Ring Continuer la lecture de Le Mage de Munich
La belle oubliée
Universal dispose entre ses catalogues d’un harem de Schéhérazade que domine d’une tête sans voile la merveille des sessions londoniennes de Pierre Monteux : un vrai ballet. Philips aura ajouté Kondrachine, feuilletant avec le Concertgebouw un livre de contes érotiques Continuer la lecture de La belle oubliée