Seul, avec son Christoph Kern d’après Walter si profond de timbre, Alexander Melnikov ouvre la Sonate en sol majeur. Romantique, et déjà si lyrique avant même que le violon ne vienne reprendre sa phrase.
Les airs de concert de Mozart, redoutables particulièrement pour les sopranos, ont quasiment déserté le disque depuis les grandes intégrales initiées par Philips et Decca à l’occasion du bicentenaire de la disparition du compositeur. Qui désormais oserait se confronter à celles-ci Continuer la lecture de Flamboyance→
La Résidence de Würzburg, merveille rococo, dédie ses étés exclusivement aux œuvres de Mozart depuis un siècle, ce coffret glane à compter des années cinquante de quoi dresser un panorama varié en piochant dans les bandes Continuer la lecture de Mozart en Résidence→
Harnoncourt, au Concertgebouw, avait déjà entrepris sa révolution Mozart lorsque, avec deux ou trois années de retard, deux microsillons Denon publiés au Japon parvenaient enfin dans les bacs des disquaires parisiens. Stupeur Continuer la lecture de Quatuor solaire→
Rétrospectivement, chaque note de Fritz Wunderlich, mort si jeune des suites d’une chute d’escalier, aura été éditée, dans des version pirates d’abord, puis par les radios allemandes Continuer la lecture de Le ténor soleil→