Courez à la Deuxième Sonate de Chopin, la noblesse des traits, l’éloquence sans grandiloquence, la tenue de la Marche funèbre dont le trio laisse poindre l’émotion, l’irrépressible ligne droite du Finale, croirait-on tant de maîtrise et de poésie chez un jeune homme de vingt-quatre ans ? Continuer la lecture de Pour l’Amour de Nelson