Si l’Opéra de Vienne eut bien une diva, et une diva dont la voix vous autoriserait à la faire assoir sur vos genoux pour quelques agaceries, ce fut bien elle.
Karajan surveillait ce jeune Napolitain à la chevelure de geai depuis qu’il avait remporté le Concours Guido Cantelli. On donnerait pour l’édition 1971 de « son » Festival de Salzbourg, Don Pasquale, le Donizetti le plus couru à l’Opéra de VienneContinuer la lecture de Fiançailles→
Le disque aurait-il menti au sujet du Quartetto Italiano, qui les avait sacrés dans leur maturité interprètes impeccables du grand répertoire, chez eux d’abord chez HaydnContinuer la lecture de Leurs vrais visages→
La Lucrezia Borgia que Felice Romani tira avec un certain bonheur de la pièce de Victor Hugo pour Gaetano Donizetti en 1832 parut au répertoire de loin en loin, jamais absolument abandonnée.
Quel destin musical pour le Polyeucte de Corneille ! Donizetti s’en était emparé à la suggestion d’Adolphe Nourrit : le ténor se rêvait dans le rôle-titre. Mais ce Poliuto fut interdit par la censure italienne. Donizetti remania l’ouvrage pour Paris, le mettant aux proportions, et dans le ton du Grand Opéra qui régnait alors en France. Continuer la lecture de Révélation→