Ce n’est pas le premier disque de Maria Gabryś. Un programme Chopin avait paru chez Arco Diva en 2011, qui m’avait tiré l’oreille. Une artiste, des idées.
Voilà son second opus qui comme le précédent Continuer la lecture de Maria Gabrys, opus 2
Ce n’est pas le premier disque de Maria Gabryś. Un programme Chopin avait paru chez Arco Diva en 2011, qui m’avait tiré l’oreille. Une artiste, des idées.
Voilà son second opus qui comme le précédent Continuer la lecture de Maria Gabrys, opus 2
Mikhail Pletnev a toujours aimé le studio d’enregistrement – il le fréquente souvent tard le soir, les ingénieurs du son l’y accompagnent pour ce qui est devenu en quelque sorte un rituel. Une fois la séance terminée, Pletnev joue pour lui-même une œuvre Continuer la lecture de Studio Plus
Les années soixante pour Martina Arroyo, c’est l’époque bénie. Le MET l’a vu triompher en 1965 en Elizabeth de Valois, elle incarne Amelia, la Leonora de La Forza del destino, elle est devenue le grand soprano verdien qu’elle rêvait d’être. Cette diva du MET existait alors que Leontyne Price régnait, mais elle rayonnait absolument. Continuer la lecture de La voix du bon Dieu
Après une intégrale des Sonates de Beethoven fêtée aux États-Unis, Garrick Ohlsson s’engage chez Schubert. La petite la majeur qui ouvre le disque rappelle à quel point il sait former le son – rond lumineux – et ponctuer la phrase aux deux mains. Les courbes se dessinent, Continuer la lecture de D’un Schubert l’autre
Un premier album de Shai Wosner confrontait logiquement Schönberg et Brahms, sans parti pris intellectuel, mais avec un vrai talent de conteur, et une sonorité profonde et lumineuse jusque dans le plus obscur du clavier qui décidément arrêtaient l’attention. Continuer la lecture de Né pour Schubert