L’unique concerto que Dvořák écrivit pour Hanus Wihan (qui renonça à sa création laquelle fut assurée par Leo Stern) est le Graal des violoncellistes, d’une exigence technique folle mais d’une inspiration absolue, il les contraint à la transcendance.
Covent Garden en 1975 reprend l’inusable spectacle d’Otto Schenk, pure tradition habile que John Vernon capte platement. L’image a vieilli mais pas forcément le style qui colle au propos de Verdi et respecte cet ouvrage de demi-caractère Continuer la lecture de D’un Bal l’autre→
Josef Suk n’était pas encore le beau-fils d’Antonín Dvořák, mais déjà son élève, lorsqu’il composa son Quatuor avec piano, premier opus et déjà un manifeste dont l’Adagio regarde vers la musique française, les mouvements extrêmes plus vers Brahms que vers DvořákContinuer la lecture de Quatuors de famille→
Morceler les concerts de disque en disque, est-ce raisonnable ?
Le ton si enjoué, la légèreté du geste de Carl Schuricht dans l’ultime Concerto de Mozart rencontre si pleinement le piano simplissime de Robert Casadesus, un tel soleil mélancolique Continuer la lecture de Miroir Mozart→