Jorge Bolet au sommet de son art, capté idéalement sur de très beaux pianos par des ingénieurs du son saisissant toutes ses couleurs et son grand jeu polyphonique. Quel plaisir tout au long de ce troisième volume qui clôt la publication de ses enregistrements Continuer la lecture de Les inédits d’un génie
Leonard Bernstein et Tristan
Leonard Bernstein ne fréquenta le théâtre de Richard Wagner qu’épisodiquement : de New York, un premier acte de Walküre (1968, Farrell, King, Langdon), âpre et violent, mériterait d’être mieux édité, sinon les quelques scènes de Götterdämerung et déjà Tristan und Isolde.
Mais entre janvier et décembre 1981 Continuer la lecture de Leonard Bernstein et Tristan
Portrait vivant
1964, Boris Tichtchenko, vingt-cinq ans, achève la rédaction de sa Deuxième Symphonie, un double portrait, celui de Marina Tsvetaeva, poétesse favorite de l’intelligentsia russe dont l’œuvre était encore alors tenue sous le boisseau par la soviétie Continuer la lecture de Portrait vivant
Concerto de l’âme
Gautier Capuçon se sera saisi très tôt du violoncelle de Schumann, cet autre baryton qui a ses propres lieder, Martha Argerich l’accompagnant dans ce voyage exalté plusieurs années durant Continuer la lecture de Concerto de l’âme
Ballet en noir et blanc
Enfermer La Belle au bois dormant ou Casse-noisette dans un piano ? Mikhail Pletnev l’a fait, avec un art certain, réalisant ces transcriptions à son usage. Magnifiquement pianistiques, elles font voir aussi bien la danse que la pantomime dans La Belle au bois dormant que Claire Huangci joue très grand style, faisant des entrechats et dressant des décors. Continuer la lecture de Ballet en noir et blanc