La jeunesse vraiment ? Oui, pour les deux premiers Concertos auxquels la sonorité naturellement claire, le jeu vif qui danse sur les rythmes, le toucher si mozartien de Jan Lisiecki Continuer la lecture de Sagesse
Seul
Tant de Winterreise, et au fond, un m’aura suffit longtemps, celui, tardif, de Hans Hotter et Erik Werba. Il y avait là un son comme revenu de tout. Le revoici enfin, non que Peter Mattei soit comme Hotter ce Wotan, mais par le timbre, par le poids dans le mot qu’allège la ligne tenue, élancée, par le récit, une proximité paraît. Continuer la lecture de Seul
L’esprit de Tatiana
Moscou, Salle Rachmaninov du Conservatoire, un jeune homme de dix-huit ans s’avance vers le piano sous le regard bienveillant de son professeur. Impossible de ne pas croire que Nikolaï Lugansky ne jouera pas d’abord pour elle tout ce programme Bach Continuer la lecture de L’esprit de Tatiana
Le jour et la nuit
Brillant, le Concerto en sol ? Du Mozart oui ! François Dumont le joue avec une simplicité déconcertante, sans les effets et le motorisme que tant y mettent, éclairant les mouvements extrêmes Continuer la lecture de Le jour et la nuit
Ultima verba
Dix années à voyager en compagnie des trois dernières Sonates de Schubert, pas moins ! Ce n’est pas une vie comme pour Schnabel ou Kempff, mais pourtant Francesco Piemontesi va au cœur des œuvres comme ses célèbres ainés.
L’autorité sans maniérisme qui emporte le sombre Allegro de l’ut mineur Continuer la lecture de Ultima verba