Jeune homme, Philippe Bianconi fréquenta le grand répertoire germanique auprès d’Hermann Prey, l’accompagnant chez Schubert, trouvant dans son chant le chant même de tout un pan du répertoire pianistique.
La malle aux trésors du baroque espagnol semble sans fonds depuis que Jordi Savall l’a ouverte. La Catalogne ne fut pas avare de compositeurs aussi singuliers que splendides, si l’on pense souvent aux polyphonies ivres des messes de Valls. Continuer la lecture de Portrait complet→
Thurston Dart, dans sa note d’intention, prévient : qu’on écoute ce disque à volume doux, le clavicorde est un grillon que les micros transforment en cigale. Baissons donc le son. L’instrument de Thomas Goff que la pochette du microsillon montrait Continuer la lecture de Expérimental→
La Fantaisie « Wanderer » ? Edwin Fischer d’abord, je l’ai apprise avec lui, puis Sviatoslav Richter qui en quelque sorte pouvait l’épuiser, de sons, de motifs, de texte simplement, et puis surtout Wilhelm KempffContinuer la lecture de Grand Son→
Dénominateur commun, la Hongrie, mais quasi comme une utopie de sons. Ce qui chez Liszt, Brahms et Bartók se nomme rhapsodie évoque d’emblée la puszta, l’immensité où se lient la terre et le ciel que parcourent les musiques Continuer la lecture de Les nouveaux mondes→