Wilma Cozart-Fine ne croyait guère à Antal Doráti pour les classiques, qu’il enregistre plutôt Bartók, Schönberg, Copland, Respighi. Elle avait tort, la preuve ici.
Dès 1952, à Minneapolis Continuer la lecture de Alerte Antal
Jean-Charles Hoffelé nous raconte ses écoutes, ses coups de coeur, ses déambulations dans la grande histoire de l’enregistrement du disque classique
Wilma Cozart-Fine ne croyait guère à Antal Doráti pour les classiques, qu’il enregistre plutôt Bartók, Schönberg, Copland, Respighi. Elle avait tort, la preuve ici.
Dès 1952, à Minneapolis Continuer la lecture de Alerte Antal
L’alto était devenu cet instrument d’orchestre, méprisé des compositeurs, qui n’avaient plus écrit pour lui d’ouvrages concertants majeurs depuis la Symphonie concertante de Mozart, oubliée elle-même, pire !, d’opus d’importance Continuer la lecture de Altos d’Albion
On oublie trop que l’histoire de l’opéra fut d’abord l’histoire des livrets. La destinée de celui écrit par Domenico Lali pour Vivaldi, cet Argippo à l’intrigue mogol que Vienne vit en 1730 un peu avant Prague, vous sont contées par Reinhard Strohm dans l’excellente note de présentation de l’album. Continuer la lecture de Retrouvé ?
La houle précipitée qu’emporte le clavier agile de Dirk Mommertz signe cette version océanique des deux Quatuors avec piano de Fauré. Le ton assombri du Deuxième Quatuor – les Berlinois choisissent de renverser la chronologie des opus – est saisissant autant par sa puissance que par son lyrisme Continuer la lecture de Fauré renouvelé
Britten aura écrit ses Canticles d’abord pour la longue voix de ténor si suggestive de Peter Pears, y mêlant à un point extrême l’intime et le théâtre, le secret et le démonstratif.
Cyrille Dubois qui, gamin, fut le Miles du Tour d’écrou après avoir Continuer la lecture de Canticles