Deux opus des années trente – joueurs, heureux jusque dans la nostalgie (l’Andantino des Bergerettes, merveille !), où Martinů fait danser archets et clavier – et deux trios en trois mouvements écrits quasiment l’un après l’autre en 1950 et 1951, voilà le bref corpus enfin assemblé sur un seul CD. Continue reading De l’âme tchèque