L’autre visage d’Alceste

Ses Motets de grand théâtre l’annonçaient assez, et même son cycle Monteverdi, tous si saillants jusque dans l’opulence : le Lully de Stéphane Fuget n’a pas renoncé au caractère ultramontain Continuer la lecture de L’autre visage d’Alceste

Ode aux années Folles

Dans le tourbillon de charlestons et jazz songs, soudain l’horloge de L’Enfant et les sortilèges compte le temps. Henri Gil-Marchex s’était transcrit à son usage personnel le savoureux dialogue entre la théière et la tasse chinoise Continuer la lecture de Ode aux années Folles