Les Mirages ? L’Horizon chimérique ? Non, voulant herboriser Fauré par ses poètes, Marc Mauillon choisit les mélodies les plus aisées à entendre, mais à chanter ?
Les trente-et-une chansons assemblées ici sont plus souvent gourmandes Continuer la lecture de Salon Fauré →
Protéiforme comme elle l’est de nature, l’œuvre de Liszt n’aura connu qu’un seul échec : l’opéra. Les quelques scènes de Sardanapale qu’il nous reste rappellent qu’hors la veine mystique Continuer la lecture de L’autre Liszt →
Les ténors se sont peu risqués aux lieder comme aux mélodies de Liszt au disque, Ernest Haefliger, Nicolaï Gedda s’y sont penchés, l’un et l’autre tardivement, mais avec encore tout leur art Continuer la lecture de Sur les ailes du chant →
La Lucrezia Borgia que Felice Romani tira avec un certain bonheur de la pièce de Victor Hugo pour Gaetano Donizetti en 1832 parut au répertoire de loin en loin, jamais absolument abandonnée.
Montserrat Caballé y fit de stupéfiants débuts remplaçant à la dernière minute Marilyn Horne pour un concert à New York Continuer la lecture de Le temps des monstres →
Hier, Yundi Li jouait ses Préludes en classique, ton sombre, piano intense et tenu, une seule grande ligne. Admirable de style mais aussi de propos. Aurait-il changé du tout au tout en abordant les Ballades ? C’est certain. Si l’on Continuer la lecture de Nouveau visage →
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