D’un tempo filant, son piano comme une guitare, Martin Helmchen emporte à tout crin le ténor d’Evangéliste de Julian Prégardien, Ganymède certain de ne pas mourir dans l’étreinte de l’aigle Zeus, et lui distillant des charmes. Vite, on ne saurait mourir ! Continuer la lecture de La mort ?
Archives par mot-clé : Martin Helmchen
Plénitude
Voilà, la boucle est bouclée, et dans le sillage de l’année Beethoven le corpus des Sonates pour violon et piano aura connu deux nouvelles intégrales majeures. Le sang neuf apporté par le tandem Lorenzo Gatto–Julien Libeer aurait-il inspiré le geste si libre Continuer la lecture de Plénitude
Sonates-vertiges, suite
L’imagination est une ivresse, les chants d’oiseaux et le caractère comme improvisé de l’Allegro de la Sonate en fa majeur vous sauteront aux oreilles, avant que le piano de Martin Helmchen ne vienne murmurer le tranquille accompagnement Continuer la lecture de Sonates-vertiges, suite
Le piano au fond des bois
Programme tout Weber, piochant à l’orchestre, à l’opéra, un peu fourre-tout, et que Christoph Eschenbach dirige très sombre, ce qui va bien à la romance d’Ännchen au troisième Acte du Freischütz Continuer la lecture de Le piano au fond des bois
Coda
Le plus beethovénien des cinq ? C’est ce qu’affirmait Géza Anda qui le jouait plus que les quatre autres. Martin Helmchen, dès son entrée ténébreuse, n’est pas loin de retrouver l’ardeur épique que le Hongrois y mettait Continuer la lecture de Coda