Pour le jeune discophile que j’étais, traînant chez les disquaires de Vienne, Alois Hochtrasser était le révélateur du Livre aux sept sceaux de Franz Schmidt : sa gravure en 1974 pour Preiser Continuer la lecture de Le Maître des c(h)œurs
Archives par mot-clé : Gramola
Les deux Concertos de Schumann
Thomas Albertus Irnberger n’hésite pas, il ouvre son disque avec le Concerto pour violoncelle. La faute à Joachim, qui, amoureux de l’œuvre, avait demandé à Schumann l’autorisation de l’adapter pour son violon. Il en réalisa admirablement la partie solistique Continuer la lecture de Les deux Concertos de Schumann
Le violon de Liszt
Die drei Zigeuner voudrait donner le ton : le violon que Liszt substitue à la voix de mezzo, paraphrasant le lied original, sera celui des Bohémiens de la poutza, la part la plus singulière de sa grammaire musicale. Puis, tout à trac Continuer la lecture de Le violon de Liszt
Rhapsodies à deux visages
Des pièces de bravoure ? Pas seulement. Ecoutez la Dixième Rhapsodie, avec son cymbalum qui se dissout dans la puszta, le même qui ouvre la Onzième. Derrière, et presque malgré la virtuosité dont Liszt aura habillé ses quinze fantaisies magyares Continuer la lecture de Rhapsodies à deux visages
Les deux jeunes hommes
Il faut entendre comment Jörg Demus et Thomas Albertus Irnberger chantent d’une même voix accordée le début de la Sonate « Printemps », clavier roulant un orage, archet arquant un arc-en-ciel Continuer la lecture de Les deux jeunes hommes