Un cycle Beethoven parfait, où sa battue claire avait rencontré l’instrument idéal, un seul disque Schubert, un doublé Berlioz, au moment de quitter les Symphoniker, voici que Philippe Jordan ajoute en guise de cadeau d’adieux les Symphonies de Brahms.
Claudio Abbado aimait à rappeler qu’Hans Swarowsky lui fut plus qu’un professeur. S’il avait choisi pour un de ses premiers concerts avec le Philharmonique de Vienne la Symphonie « Résurrection », il le devait à SwarowskyContinuer la lecture de A la gloire d’Hans→
Finalement, Herbert von Karajan eut gain de cause. Après des saisons passées à redorer le blason des Wiener Symphoniker, il fut décrété en 1955 chef à vie de ses chers Philharmoniker, l’autre phalange de la ville avec laquelle il avait gravé ses premiers 78 tours, puis Salzbourg tomba inévitablement dans son escarcelle l’année suivante. Continuer la lecture de Philharmoniker→
Vienne et la Symphonie fantastique ? Pierre Monteux, qui savait comment susciter les anges et les diables de la partition comme personne, s’était cassé les dents sur les Wiener Philharmoniker. Quelle idée aussi avait eu DeccaContinuer la lecture de Berlioz de Vienne→
Stupéfier ? Philippe Jordan préfère surprendre dans cet ultime volume qui parachève sa seconde intégrale des Symphonies de Beethoven. Je redirai ici qu’à Vienne, il réalise le projet dont son parcours avec l’Orchestre de l’Opéra de Paris avait été plus qu’une esquisse Continuer la lecture de Le Nouveau monde→