Richter et Chostakovitch lui-même ont marqué à jamais l’interprétation du Quintette, lectures fer et sang où le piano donnait le ton et le tactus respectivement au Quatuor Borodine et au Quatuor Beethoven.
Marc-André Hamelin ébroue le rire qui agite les premières mesures de la Sonate en ré majeur, et soudain c’est comme si Mozart la jouait lui-même, capricieuse, piquante, désinvolte jamais pourtant. Pas une once de cette majesté que tant y mettent, Continuer la lecture de Claviers classiques→
J’attendais probablement trop d’un disque longtemps espéré d’autant qu’il était signé par un de mes pianistes favoris. Après de singulières Goyescas, voici que Garrick OhlssonContinuer la lecture de Pas Scriabine→
Après tant d’années et de disques de virtuosité, Marc–André Hamelin éprouverait-il un impérieux besoin de musique ? Je chroniquais voici peu sa première incursion phonographique chez Debussy, coup de maître, et je découvre avec Continuer la lecture de Les sentiers secrets→
Qui peut le plus peut le plus. Après tant d’albums où ses fabuleuses facilités digitales finissaient par faire oublier l’artiste que sait être Marc-André Hamelin, le voici qui se confronte aux cahiers d’Images de Debussy et à son Second Livre de Préludes.