Tout Schubert pourrait tenir dans la première page de la grande Sonate en sol majeur, dans ces accords qui cherchent l’ombre et trouvent l’indicible. Qui les murmure a ici tout compris.
Je ne me lasse pas des Variations Goldberg, qui les enregistre gagne instantanément ma considération. Il faut oser pénétrer ici, y exposer son art et ses défaillances, car tout s’y montre.
Leonid Sabaneev n’est pas un inconnu, c’est le Monsieur en veste à rayures à gauche de Tatiana de Schloezer et d’Alexandre Scriabine sur la fameuse photographie qui les montre assis dans une prairie dominant la rivière Oka. Nous sommes au début Continuer la lecture de Sous le signe de Scriabine→
Je me souviens encore du moment où je finissais d’entendre l’intégrale des Quatuors dédiés à Haydn de Mozart que les Klenke avaient fait paraître chez Hänssler : ce jeu mobile, sans appui, cette lumière des timbres me Continuer la lecture de Les quatre dames→