« The Bel Canto Violin » proclament les disques de cette série – en fait une intégrale de tout ce que le violoniste anglais aura enregistré pour Decca et L’Oiseau-Lyre. Comme c’est vrai !
Campoli – abandonnez vous aussi le prénom, les Londoniens ne l’appelaient affectueusement que par son patronyme – né à Rome en 1906 dans une famille de musiciens (sa mère Elvira donnait la réplique à Caruso, rien moins) Continuer la lecture de Beauté→
Quatorze symphonies, plus de mille opus au total, une maîtrise formelle clouante, un art de l’orchestre magistral, et si Henk Badings (1907-1987) était un tout grand compositeur du XXe siècle, et pas seulement cette figure majeure de la musique néerlandaise dont les partitions furent encensées Continuer la lecture de Le Hollandais oublié→
Mariss Jansons est venu tardivement à Mahler, en restant longtemps à la seule Deuxième Symphonie. S’il s’est finalement imposé comme un des mahlériens de l’heure, sa conversion aura été l’effet majeur de son mandat auprès des musiciens de l’Orchestre du Concertgebouw d’Amsterdam pour qui Continuer la lecture de Pastorale→
Munich, Vienne, Berlin, Dresde ? Quelle ville, quel orchestre pour Bruckner ? Longtemps, et contre toute tradition, j’ai préféré la Staatskapelle de Dresde : les gravures des 4e et 7eSymphonies sous la direction d’Herbert Blomstedt puis la seconde intégrale d’Eugen Jochum, selon moi le sommet absolu Continuer la lecture de L’orchestre Bruckner→
Longtemps je vécus avec l’enregistrement de la 4e Symphonie et du Miroir de peine d’Henrik Andriessen selon Eduard van Beinum. Irma Kolassi le rejoignait pour la mise en musique des textes d’Henri Ghéon.