Archives par mot-clé : Chicago Symphony Orchestra

Ravel=Boston

5 Octobre 2007, concert d’abonnement du Boston Symphony Orchestra, James Levine dirige Daphnis et Chloé, une de ses œuvres fétiches qu’il avait enregistrée pour Deutsche Grammophon avec les Wiener Philharmoniker, leur en faisant apprendre l’intégralité alors qu’ils n’en « connaissaient » que la Deuxième Suite. Disque splendide Continuer la lecture de Ravel=Boston

De l’art de bien rééditer, Vol. 12 : Apogée – Martinon, the American Years

Les cinq années du magister de Jean Martinon à la tête de l’Orchestre Symphonique de Chicago ont suffisamment été décrites comme un échec personnel pour que je n’y revienne pas ici ; après tout, John Barbirolli endura la même incompétence de la critique durant son expérience new-yorkaise. Continuer la lecture de De l’art de bien rééditer, Vol. 12 : Apogée – Martinon, the American Years

De l’art de bien rééditer, Vol. 10 : Jean Martinon, première salve

2015 serait-elle l’année de la réévaluation longtemps espérée de l’art de Jean Martinon ? Sony/RCA annonce un coffret regroupant tous les enregistrements officiels du temps de son mandat auprès de l’Orchestre Symphonique de Chicago. Warner Classics s’apprête à rassembler de façon exhaustive les captations réalisées Continuer la lecture de De l’art de bien rééditer, Vol. 10 : Jean Martinon, première salve

De l’art de bien rééditer, Vol. 7 : Richter, 1960, Amériques

Sol Hurok fit publier durant l’été 1960 un bref entrefilet dans le New York Times annonçant que Sviatoslav Richter effectuerait sa première tournée américaine à l’automne. Sa réputation l’avait précédée, Glenn Gould et Van Cliburn l’ayant entendu Continuer la lecture de De l’art de bien rééditer, Vol. 7 : Richter, 1960, Amériques

Une Troisième de Mahler si vivante, par Martinon

Il ne faut jamais se fier au répertoire enregistré d’un artiste. Au XXe siècle, rares sont les chefs d’orchestre qui ont enregistré des oeuvres selon leurs volontés. Karajan, Ansermet sans doute. Ces deux artistes des années 50 à 80, faisaient à peu près ce qu’ils voulaient. Le public les suivait. A eux deux, ils ont vendu un nombre impressionnant de microsillons. Continuer la lecture de Une Troisième de Mahler si vivante, par Martinon