Surprise, Renaud Capuçon entrant chez Deutsche Grammophon, se voue à Mozart, les Concertos (j’y reviendrai), et toutes les grandes Sonates. Sous l’étiquette jaune, c’est succéder à Schneiderhan, à Perlman, à Mutter, pari risqué, pari gagné. Continuer la lecture de Mozart romantique
L’harmonie du silence
Et si Erik Satie avait été le plus révolutionnaire de tous ? Son piano blanc, ses notes sans ombre, la pureté jusqu’à l’absence Continuer la lecture de L’harmonie du silence
En lumière
En juillet 2022, Martyn Brabbins réalisa l’un de ses souhaits les plus tenaces : enregistrer l’immense Requiem où Charles Villiers Stanford assembla un vaste effectif, taillé à la mesure de son propos Continuer la lecture de En lumière
Théâtre tardif
On l’oublie trop, Otto Klemperer s’imposa d’abord comme chef lyrique, adoubé par Gustav Mahler lui-même. Au cours des années dix et vingt on le trouvera lié aux scènes lyriques de Hambourg Continuer la lecture de Théâtre tardif
L’Aztèque
C’est entendu, le visage musical savant du Brésil aura pris les traits d’Heitor Villa-Lobos, celui du Mexique ceux de Carlos Chávez. Le coffret, aussi généreux qu’inattendu, où Sony rassemble toutes les gravures Columbia du compositeur dirigeant ses oeuvres Continuer la lecture de L’Aztèque