Je me suis toujours demandé pourquoi Günther Herbig était si discret au disque. Une carrière derrière le rideau de fer jusqu’à l’orée des années quatre-vingt n’a pas facilité les choses, ses gravures pour ce qui est devenu Berlin Classics circulaient peu Continuer la lecture de L’infini
Bien joué !
Une nouvelle Heure espagnole, mazette, c’est qu’il en pleut presque autant que d’Enfant ces derniers temps. Voici donc après les excellents Slatkin et Denève ou encore Bruno Maderna sorti des limbes de la BBC, et leurs équipes affûtées, l’écho d’un concert munichois.
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Lumière de l’hiver
L’ultime Sonate de Schubert a de la chance au disque ces derniers temps. Après l’émerveillement provoqué par Ran Jia qui signait avec elle son premier disque, Maria Perrotta la faisait lyrique au possible Continuer la lecture de Lumière de l’hiver
Bergeries
La belle surprise ! Tout un plein disque consacré à un répertoire absolument oublié, celui que les compositeurs français destinaient à la vielle. Car si la tragédie lyrique s’oblige à faire entendre Continuer la lecture de Bergeries
Né pour Beethoven
La petite tempête circulaire qui ouvre la Waldstein indique immédiatement le degré de « beethovénisme » du pianiste qui la joue : elle doit être fantasque, c’est ici que Beethoven ouvre la porte sur d’autres mondes, que se crée ex-abrupto une autre grammaire Continuer la lecture de Né pour Beethoven