Falstaff de poche

En 1924, Gustav Holst eut la bonne idée de se risquer lui aussi à écrire son Falstaff. Il le prit tout entier dans la première partie d’Henry IV, lors de la scène à la taverne « At the Boar’s Head » (« À la tête de cochon ») : après que Falstaff ait raconté avoir été détroussé par une armada de voleurs, le Prince Hall Continuer la lecture de Falstaff de poche

À la limite du blasphème

Beaucoup se demandent comment aborder les quinze heures de La Tétralogie de Wagner, sa cinquantaine de personnages importants, sa centaine de thèmes musicaux, et par où commencer. Ceux qui veulent découvrir ou retrouver l’histoire complète de La Tétralogie, ne manquez pas cette explication pleine d’humour et pédagogique sur YouTube « La Tétralogie c’est très simple » (cliquez ici).

Mais pour la musique, Lorin Maazel a proposé une solution Continuer la lecture de À la limite du blasphème

Du génie

C’est entendu, Antal Doráti a signé un des plus fabuleux ensembles Tchaïkovski au disque, suites symphoniques, poèmes symphoniques, ballets, symphonies, gravures d’origine majoritairement londoniennes (et marginalement réalisées à Minneapolis, Casse-noisette Continuer la lecture de Du génie

Noces de sang

Dvořák écrivit sa cantate fantastique pour Birmingham, sombre poème d’Erben où une jeune fille espérant le retour de son amant est abusée par un spectre qui au long d’une balade nocturne lui ravit tous ses atours jusqu’à sa chemise de noces Continuer la lecture de Noces de sang