La retrouvée

Maurice Ravel, l’entendant créer Ma mère l’Oye, fut touché au point de lui écrire. Trois années plus tard, il lui dédiera le merveilleux petit Prélude qui cache mal, sous son office de morceau de déchiffrage pour le Conservatoire, un soupir de tendresse où passe plus que de l’admiration. Continuer la lecture de La retrouvée

Lumière du Romantisme

Tout Mendelssohn ? Quasi. En tous cas, aucune d’œuvre d’importance ne fait défaut à la somme considérable que réunit Warner, sinon côté piano, et aucune somme Mendelssohn qu’un autre éditeur aurait assemblée ne pourrait s’y comparer en termes de pure qualité. Continuer la lecture de Lumière du Romantisme