Annie chez elle

Le son d’abord, ce piano plein et éclatant dont la profondeur harmonique diffuse dans les phrasés les plus lumineux cette ombre à peine suggérée. C’est tout Mozart, et c’est tout Annie Fischer, qui fut l’une des interprètes d’élection des concertos, pas une intégraliste mais une fidèle à certains opus, à la manière de Clara Haskil. Continuer la lecture de Annie chez elle

Trésor sacré

Florentin exilé à Vienne, Conti n’aurait-il laissé que des chefs-d’œuvre ?

Ses cantates pour alto avec chalumeau obligé qu’avait révélées Bernarda Fink, le magnifique David restitué par Alan Curtis, en attendant peut-être demain au disque le Don Quichotte ressuscité par René Jacobs Continuer la lecture de Trésor sacré