Sir John Eliot Gardiner n’a jamais oublié que Monteverdi fut son premier amour : ses Vêpres à la Vierge pour Decca sont restées au pinacle de la discographie. Tout le théâtre de Monteverdi suivrait pour Archiv, somptueux, baroque, avec des distributions de première force, autre sommet d’une discographie qu’il revisite enfin. Continuer la lecture de L’Eternel retour
Les deux œuvres
Son intégrale des cantates aura trop relégué l’autre œuvre en Bach entrepris par Masaaki Suzuki et qui semble tendre vers une certaine complétude : après tout, il est d’abord claveciniste. Un Clavier bien tempéré épuré, des Goldberg rayonnantes Continuer la lecture de Les deux œuvres
Livre ouvert
Des études, des poèmes ? Oui, et dans une filiation très française où se font entendre Debussy, Messiaen, cahier pédagogique certainement où un pianiste pourra apprivoiser Continuer la lecture de Livre ouvert
Bravoure
Et si le coup de génie pour réussir les Concertos de Saint-Saëns était l’entente intime et donc absolue entre le piano et l’orchestre ? À ce titre là, aucun pianiste n’aura eu cette chance Continuer la lecture de Bravoure
Eden
Non, Richard Strauss ne fut pas le seul maître des mélodies édéniques en parures automnales qu’il résuma dans ses Vier Letzte Lieder, Joseph Marx son cadet de vingt ans y excellait. Les lieder occuperont la place centrale de son œuvre Continuer la lecture de Eden