L’Octuor, cette grande symphonie déguisée en sérénade que Schubert brossa en 1824, chéri longtemps des seuls musiciens viennois, s’est fait une seconde jeunesse depuis que les solistes de l’Academy of Ancient Music y ont invité leurs instruments d’époque Continuer la lecture de Symphonies de timbres
Cœur du romantisme
Le piano d’abord : ce Steinway D 274 que Martin Ivanov a choisi pour son album Liszt possède les timbres boisés des grands modèles historiques de l’entre-deux guerres, avec des aigus de flûtes Continuer la lecture de Cœur du romantisme
Les ailes du chant
C’est entendu : toute musique de Gerald Finzi est vocale, par essence même dans ses concertos où la clarinette est une mezzo, le violon un garçon soprano, et par nature dans ses impérissables cycles mélodiques.
Mais on connaît bien moins ses œuvres chorales Continuer la lecture de Les ailes du chant
Elégance
Quelques disques chez Philips, une brassée de Chopin, un album Schumann (Humoreske, Carnaval), ce dernier jamais reparu en CD Continuer la lecture de Elégance
Ravel rubato
Le style Ravel, qui ne veut pas que le métronome bouge, qui choisit le rectiligne et le fluide pour atteindre à un idéal classique, est celui que nous avons tous appris avec les disques de Marcelle Meyer ou de Robert Casadesus Continuer la lecture de Ravel rubato